Prologue
Et si un jour en vous r�veillant, vous trouviez tout � coup le monde diff�rent de ce que vous pensiez - tr�s diff�rent ? Si vous vous trouviez au sein d�une r�volution scientifique et spirituelle qui �branlait la fondation m�me de la conception du monde qui vous entoure ? Si votre certitude d�isolement dans l�univers pouvait �tre fracass�e par l�exp�rience directe de votre unit� � tout ce qui existe ? Si la r�volution scientifique �tait en r�alit� une r�volution de la conscience humaine?
Comment vous sentiriez-vous si tout ce qui vous bloque dans la vie, vous ralentit, vous emp�che de devenir ce que vous avez toujours voulu �tre pouvait dispara�tre ? Que feriez-vous si la r�alisation de votre union � toute chose devenait une exp�rience positive et r�volutionnaire du mouvement de l��nergie universelle � travers votre mental, votre corps et votre �me ? Si le chemin de la conscience pouvait �tre parcouru en un instant, seriez-vous pr�t ? Pourriez-vous p�n�trer dans le miroir magique pour voir le monde r�el si cela vous demandait de l�cher prise sur vos vieux concepts?
Ce livre raconte comment j�ai v�cu l�exp�rience, au-del� de tout doute, que le monde est bel et bien comme les mystiques l�ont d�crit. C�est l�histoire d�un voyage que j�ai entrepris. C�est � la fois un voyage et un cheminement dans lequel je suis parvenu, d��tape en �tape, � la r�alisation que je ne pouvais plus nier la r�alit� des choses �tablies. Dans cet espace, l��nergie de l�univers a jailli en moi et m�a soulev� comme une vague soul�ve un �surfeur� � la plage. Vous pouvez r�sister si vous le d�sirez et peut-�tre parviendrez-vous � d�jouer cette vague, mais il y en aura d�autres et t�t ou tard, vous serez emport�.
Voici la vague qui m�a emport�e.

Jane
En janvier 1996, l�univers de Jane �tait d�fini avec pr�cision. Il mesurait exactement 4,5 centim�tres et il se trouvait dans son ut�rus. Sa plus grande crainte �tait que son univers ne prenne de l�expansion, comme on le supposait d�j�. �ventuellement, il atteindrait ses seins, ses poumons, son cerveau et sa moelle osseuse. Elle ne se sentait gu�re r�confort�e par le fait que plus il se propagerait, plus elle perdrait de poids, comme une sorte de dirigeable souple. Pour l�instant, cette tumeur asym�trique de 4,5 centim�tres repr�sentait tout son univers : physique, mental, �motionnel et spirituel. Elle ne pouvait plus ressentir le plaisir. Il ne lui restait plus que cet unique centre de conscience obscure.
Dans la lumi�re froide �manant du centre de cet univers, l�amour et m�me le sexe �taient hors de question. Si son univers exigeait du mouvement, elle se promenait de m�decin � gourou et de gu�risseur � charlatan. � ce moment pr�cis, elle retournait voir son m�decin. Six semaines de chimioth�rapie l�avaient laiss�e p�le, vid�e et chauve. Elle se sentait chancelante, faible et seule en entrant dans l�aire de stationnement de la clinique pour cancer de Pasadena.
Les portes vitr�es s�ouvrirent, invitant Jane � laisser derri�re elle le soleil chaud de l�apr�s-midi et � s�avancer dans cette st�rilit� fluorescente trop bien con�ue qui lui rappelait cette lumi�re froide en elle. Bizarre comme la secr�taire avait l�air p�le. Elle leva les yeux et afficha un sourire triste en voyant Jane, qu�elle reconnaissait � la suite de ses nombreuses visites. Telle une automate, h�b�t�e, Jane prit sa chaise habituelle dans un coin, pr�s des revues pleines de photos de maisons parfaites et d�avenirs qui auraient pu lui appartenir si seulement ils avaient une place � l�int�rieur de ce petit univers qu�elle portait en elle.
Le m�decin va vous voir maintenant. � Un autre visage qui lui �tait familier, une infirmi�re. Jane ne pouvait plus se souvenir de son nom mais la suivait, soumise, vers les catacombes des salles d�auscultation. Cependant, elles tourn�rent tout de suite apr�s leur entr�e et, plut�t que de se diriger vers une salle d�examen, Jane se retrouva dans le bureau du m�decin, fixant la surface vitr�e d�un bureau brun sur lequel �taient �parpill�s des formulaires d�analyses. Derri�re le bureau, le mur �tait couvert de dipl�mes, de certificats et de brevets des institutions les plus respectables, comme pour lui assurer qu�elle �tait entre les meilleures mains possibles, que les soins qu�elle recevait correspondaient � la fine pointe de la connaissance humaine, pr�sente et � venir.
L�infirmi�re referma la porte derri�re elle et Jane se mit � patienter au-del� de l�arriv�e �imm�diate� promise. Chaque moment lui semblait une �ternit� depuis qu�elle portait cet univers en elle. Comment ces gens, ces professionnels de la sant� pouvaient-ils comprendre ? Jane savait que leur travail �tait de graisser les roues d�une machine beaucoup plus grosse que n�importe lequel d�entre eux. Sa crainte non exprim�e �tait que cette machine ne soit hors de contr�le, car elle pouvait � tout moment se pr�cipiter sur eux, se pr�cipiter sur elle......

�pilogue I : L��volution du Programme AIM
Cela faisait plusieurs ann�es que Max et moi travaillions ensemble et j�en �tais arriv� � partager sa passion absolue pour notre travail parce que je ne pouvais pas m�imaginer faire autre chose. Il m�avait remis entre les mains tout ce qui se rattachait au logiciel et � l��quipement pour se concentrer sur la recherche et le d�veloppement de fr�quences : l��quilibrage, l�accroissement de la force vitale, le ralentissement du vieillissement, le renforcement du syst�me immunitaire et le d�veloppement de l��tat de conscience. Selon ses dires, je lui permettais de remplir sa destin�e d�idiot-savant.
Nous travaillions entre soixante et quatre-vingts heures par semaine. Nous avions apport� des changements importants et extraordinaires au QED et cela ne suffisait toujours pas. Le mantra de Max �tait devenu � Nous avons eu une bonne journ�e. Nous ne sommes que l�g�rement plus en retard qu�hier. �
Le probl�me �tait que nous �tions pris dans une tendance alarmante qui acc�l�rait rapidement. Certains d�s�quilibres �taient devenus tellement courants parmi la population qu�il �tait impossible de les �viter. Tout le monde en souffrait et malheureusement, semblait dispos� � se les partager.
Pour Jen et moi, la �chorale�, nos animaux domestiques et les rats de labo (les amis intimes sur qui nous essayions les nouvelles fr�quences), le probl�me n�avait pas grande importance. Nous v�rifiions simplement nos d�s�quilibres sur le QED et nous les impr�gnions quotidiennement.
In�vitablement, nous avions regroup� ces fr�quences sur un plateau personnel que Max avait nomm� le �palmar�s�. Il contenait toutes les fr�quences pand�miques et omnipr�sentes dont la plupart �taient mutantes, des recombinantes ou des fr�quences pliomorphiques difficiles � identifier. Tous les jours, Jennifer impr�gnait soigneusement nos photos de la quinzaine de d�s�quilibres qui se trouvaient au �menu du jour�, et tous les jours, nous nous en d�barrassions.
C��tait devenu entre nous une source quotidienne d�humour noir et surr�el : � Je viens d�avoir encore la fr�quence de la tuberculose. Est-ce que tu la ressens? �
� Absolument. La raideur de mon �paule droite ne ment pas. Et vous, l�-bas, la ressentez-vous? �
� Pas encore� �
� Eh bien, attendez quelques minutes. �a sera bient�t votre tour. �
Nous n��tions pas inquiets. Jennifer et son assistant nous avaient mis � �mijoter� sur le plateau du �palmar�s.�
Malheureusement, nos clients ne partageaient pas notre attitude d�sinvolte. De plus en plus fr�quemment nous entendions : � Quand je suis sur le plateau tout va bien. Des que je n�y suis plus, �a revient. �
En fait, nous savions que �a ne �revenait� pas car nous pouvions mesurer le temps �coul�. Ils avaient de nouveau acquis la fr�quence. Cependant, ils ne pouvaient pas saisir la diff�rence � et c��tait compr�hensible car il leur manquait la perspective privil�gi�e que nous avions.
Max avait une liste grandissante de personnes qui r�agissaient � la probl�matique des d�s�quilibres quotidiens en demandant � �tre �valu�s et impr�gn�s tous les jours. D�autres, qui ne pouvaient pas se payer le luxe d��valuations quotidiennes se faisaient �valuer et impr�gner deux ou trois fois par semaine.
Max �tait visiblement frustr� par la liste interminable de d�s�quilibres et par le nombre grandissant de personnes qui en souffraient. Un jour, en r�fl�chissant aux discussions que j�avais eues avec Max, j�eus une r�v�lation soudaine. J�entrai dans son bureau et m�assis pour lui parler. Je lui montrai mon pouce.
� Tiens, lui dis-je en lui tendant la sonde, examine-moi. �
� Je t�ai examin� ce matin, dit-il. �
� Examine-moi encore, insistai-je. �
� Y-a-t-il quelque chose qui te d�range, me demanda-t-il ? �
� J�ai un ou deux petits probl�mes que tu pourrais r�gler, je pense. �
Max reprit mon �valuation �nerg�tique et d�couvrit quelques d�s�quilibres qui, selon lui, n��taient pas l� auparavant.
� Ce ne sont pas vraiment des d�s�quilibres graves, dit-il. Ils auraient disparu d�eux-m�mes sans �quilibrage �nerg�tique. �
� Mais ils s�en iront plus rapidement avec l��quilibrage, n�est-ce pas ? �
Il reconnut que c��tait le cas.
Je me dirigeai vers l��quipement � impr�gner les �nergies, saisis une des photos de moi qui tra�nait et ajustai la programmation pour les d�s�quilibres qu�il venait de trouver en moi.
Puis, je me rassis au bureau de Max et lui tendit � nouveau mon pouce.
� V�rifie-moi encore, lui demandai-je. �
� Te sens-tu plus parano�aque que d�habitude aujourd�hui, demanda Max ? �
� Je veux m�assurer d��tre parfait, dis-je, ou du moins, aussi parfait que possible. �
Max attendait que je m�explique. Je continuai donc.
� Est-il possible que j�aie acquis de nouveaux d�s�quilibres depuis l��valuation que tu viens de me faire ? �
� Bien s�r, dit-il. �
� Je veux r�soudre mes d�s�quilibres d�s que je les re�ois. �
� Tout le monde le voudrait ! �
� �coute, Max, je veux recevoir mon �quilibrage �nerg�tique jour et nuit et trois cent soixante-cinq jours par an. �
� Tu devras trouver quelqu�un d�autre pour faire tes �valuations parce qu�il y a d�autres personnes qui ont aussi besoin de mon aide. �
� J�ai un plan, dis-je. �
Je lui expliquai mon id�e en d�tail.
� Je pense qu�un de nos probl�mes concernant l��quilibrage �nerg�tique est qu�il est difficile et co�teux de livrer les �nergies �quilibrantes. � cause de cela, et pour bien d�autres raisons encore, il n�est possible de livrer qu�un nombre limit� d��nergies �quilibrantes � la fois. Puisque nous ne pouvons en livrer qu�un certains nombre, nous sommes oblig�s de faire une �valuation pour d�terminer exactement les �nergies dont une personne pourrait avoir besoin � un moment pr�cis. �
� Cela r�sume bien la situation, acquies�a Max. �
� Et si nous construisions une machine qui pourrait livrer toutes les �nergies �quilibrantes pour tous les d�s�quilibres r�pertori�s ? �
� Qu�est-ce qui te fait croire que je n�ai pas d�j� consid�r� cette possibilit�, me r�pondit-il d�un ton sec ? C�est impossible pour trois raisons. Tout d�abord, on ne peut pas placer autant �nergies � impr�gner sur un seul ordinateur. �
� Eh bien, nous en utiliserons deux, trois� dix, s�il le faut. Ce n�est pas un probl�me. �
� Je suis d�accord, dit-il. Deuxi�mement, nos param�tres ne sont pas r�gl�s pour un si grand nombre de d�s�quilibres, mais tu me r�pondras s�rement que tu peux les recalibrer, pas vrai ? �
� Bien s�r. �
� Bien, maintenant, allons au vif du sujet. Si quelqu�un �tait impr�gn� de milliers de fr�quences �nerg�tiques en m�me temps, l�impact de chaque fr�quence impr�gn�e serait n�gligeable. C�est trop d�information � assimiler pour l��tat de conscience. �
� La r�ponse est facile, Max. Trouve-toi une pierre de Rosette. �
� Qu�est-ce que tu racontes ? �
� Fais ce que tu fais le mieux et fais ce que tu es le seul � pouvoir faire. Trouve une fa�on qui permettra � chaque personne, par l�entremise de sa photo, de s�lectionner seulement les fr�quences dont elle a besoin et d�oublier les autres. Tout comme la pierre de Rosette qui a fourni la cl� des hi�roglyphes �gyptiens, cette fr�quence ou cette combinaison de fr�quence permettra � l��tat de conscience de choisir parmi les milliers de fr�quences qu�il recevra. �
Max me regarda d�une dr�le de fa�on.
� Tu proposes une interaction organique entre une intelligence artificielle et le bon go�t, c�est bien �a ? �
� Exactement, lui r�pondis-je, le manifeste �nerg�tique : � chacun selon ses d�s�quilibres. Penses-y. Cela voudrait dire, d�abord, que les �valuations �nerg�tiques ne seraient plus n�cessaires puisque leur but �tait de d�terminer les �nergies �quilibrantes n�cessaires Ensuite, �a serait comme si nous recevions une �valuation �nerg�tique plusieurs fois par jour. En fait, un nombre infini d��valuations quotidiennement. �
Il me regarda et dit : � F�licitations!, tu es un physicien quantique. � partir de maintenant, plus personne ne saura de quoi tu parles. �
C�est ainsi que commenc�rent des mois d�apprentissage par essais et erreurs, des mois de mesures et d�exp�riences sur nous-m�mes car nous avions donn� notre accord � de bien mauvaise gr�ce, d�ailleurs � pour abandonner nos plateaux personnels d�impr�gnation et mettre toute notre confiance dans le nouveau processus AIM, un acronyme pour All-Inclusive Method. Cependant, nous l�avons appel� AIM parce qu�il s�agissait bien de cibler les d�s�quilibres qui se trouvaient dans notre matrice �nerg�tique afin de permettre � notre �tat de conscience de les r�gler. Nous avons donc construit un nouvel appareil pour livrer les �nergies AIM de la mani�re la plus efficace. Nous avons nomm� cet appareil le �Qid� un acronyme pour �Quantum-Consciousness Imprinting Device�.
Tous les deux ou trois jours, Max changeait la fr�quence de la �rosette�, l�incorporait au Qid, puis nous demandait des �nergies �vierges�, le terme qu�il utilisait pour des sujets qui n�avaient jamais re�u d��quilibrages �nerg�tiques. Les secr�taires se mirent donc � t�l�phoner fr�n�tiquement aux amis et aux proches afin d�obtenir leur permission d�utiliser leurs photos et celles de leurs animaux domestiques.
Tous les jours, nous suivions de pr�s le progr�s �nerg�tique des quatre groupes que nous testions :
VI � les vierges avis�es, qui �taient inform�es de la nature de leurs d�s�quilibres �nerg�tiques;
VNA � les vierges non avis�es, qui �videmment n��taient pas inform�es;
VGT �les vierges du groupe t�moin, qui n�avaient �t� �valu�es que pour leur admissibilit� au programme et dont nous ne testions tous les jours que les niveaux de fr�quences de leur force vitale et de leur �tat de conscience.
LA � les autres, c�est � dire, Max, Jennifer, la �chorale� et moi-m�me
� notre grande satisfaction, nous avons d�couvert que, gr�ce � l�ajout de la fr�quence de la Rosette, nous pouvions fournir simultan�ment un nombre presque illimit� d��nergies �quilibrantes. Le participant qui recevait les �nergies du programme AIM arrivait � un �quilibre �nerg�tique sans jamais m�me savoir de quels d�s�quilibres il se d�sintoxiquait.
Pendant que Max continuait � am�liorer l�efficacit� de la fr�quence de la Rosette et que je mettais en application les autres changements requis pour la AIM, nous remarqu�mes des changements extraordinaires.
D�abord, chacun de nous d�montrait des augmentations significatives et mesurables de la fr�quence de force vitale, d��tat de conscience et de niveaux de r�sistance immunitaire.
Max en attribuait la cause � ceci : � Plus tu passes de temps � r�sister � un d�s�quilibre, plus tu hypoth�ques ta force vitale. Lorsque tu fais face � un d�s�quilibre au moment m�me o� tu l�acquiers, tu mets peu de temps � t�en d�barrasser et il te reste plus de force vitale pour accomplir tes objectifs de vie. �
� Qui sont�? �
� Atteindre ton plus haut niveau d��tat de conscience et de force vitale et de minimiser la distance qui te s�pare de l�univers. Pour accomplir cela, il faut pouvoir y consacrer toute l��nergie n�cessaire sinon, c�est comme essayer de courir un marathon en portant une boule de quille. Tu termineras peut-�tre l��preuve, mais le temps requis n�impressionnera que les autres quilleurs. �
Le deuxi�me effet du programme AIM, selon Max, �tait encore plus significatif mais bien moins agr�able� et nous avons d� tous y passer, y compris Max. Nous l�avons nomm� la �D�sintoxication �nerg�tique.�
Nous avions tous des d�s�quilibres profond�ment enfouis et majoritairement de source h�r�ditaire, que Max n�avait jamais d�couverts par la m�thode d��valuation (nous l�appelions d�j� �l�ancienne m�thode�). Nous savions que nous poss�dions ces d�s�quilibres m�me si Max ne les avait jamais identifi�s auparavant parce qu�ils �taient inexorablement d�couverts par la AIM et la fr�quence de la Rosette. Donc, pour chacun de nous, ces �d�s�quilibres de base�, comme Max les appelait, ont commenc� � faire surface et nous avons eu � endurer la p�riode de d�sintoxication avec plus ou moins de dignit�. Pendant plusieurs semaines, Max a ressenti des d�mangeaisons aux bras et aux jambes. Il �tait d�concertant d�essayer de lui parler pendant qu�il se grattait, d�autant plus que j��tais facilement irritable � cause de la pr�sence d�un d�s�quilibre h�r�ditaire du foie. Jennifer, qui en temps normal �tait une athl�te splendide, �tait clou�e � sa chaise par la fr�quence de la scl�rose en plaques.
� Pourquoi la douleur ne se limite-t- elle pas � ma photo, g�missait-elle ? �
� Comment sais-tu que ta photo ne souffre pas, r�pondit Max ? Tu es probablement trop �loign�e de ton �tat de conscience quantique pour t�en apercevoir. � Il nous scruta un par un et dit : � Jennifer m�rite le prix des communications avanc�es de la semaine. � Puis, il se dirigea vers le plateau de la AIM et se mit � gratter sa photo.
Jennifer sortit de la pi�ce d�un air hautain; elle faisait la gueule tout en marchant au ralenti.
� Ce que nous d�sirons tous, moi inclus, dit Max, est un passe-droit. Nous voulons �tre d�barrass�s de nos d�s�quilibres sans avoir � les ressentir. � tort ou � raison, �a ne fonctionne pas de cette fa�on, car on ne peut pas prendre conscience de quelque chose et en demeurer inconscient en m�me temps. �
Ses remarques ne nous apportaient que peu de r�confort m�me si chacun de nous acceptait, en maugr�ant, l�in�vitabilit� du processus de d�sintoxication.
Chose int�ressante, pendant que nous nous plaignions de notre d�sintoxication, d�autres personnes se d�sintoxiquaient sans presque rien ressentir. In�vitablement, nous nous s�par�mes en trois groupes distincts. Max appela le premier groupe �les insensibles�, car ils ne ressentaient rien � pas d�effets de d�sintoxication, pas de lune de miel, rien de bon et rien de mauvais. Max dit qu�il les avait ainsi nomm�s par esprit de vengeance puisque lui-m�me faisait partie du deuxi�me groupe, que les insensibles avaient surnomm� �les pleurnicheurs�. Jennifer et moi appartenions �galement � ce deuxi�me groupe.
� Il y a un avantage bien �vident � �tre un insensible, me dit Max. Ils re�oivent tous les avantages �nerg�tiques sans avoir � subir de d�sintoxication spectaculaire. Malheureusement, nous n�avons pas tous cette chance. �
J�indiquai mon accord d�un g�missement et Max se mit � rire.
Le troisi�me groupe �tait un sous-groupe des insensibles que Max appelait �les sceptiques�. Terry �tait une sceptique. Un jour, elle entra dans le bureau de Max, le pouce lev�, pour se plaindre de ne rien ressentir, m�me apr�s des mois de participation au programme AIM.
Max lui demanda de s�asseoir et effectua une br�ve �valuation �nerg�tique. Il d�termina rapidement que sa force vitale augmentait et que ses d�s�quilibres h�r�ditaires disparaissaient, m�me si elle disait ne rien ressentir.
� Mon probl�me est que je suis incr�dule, dit-elle. Si je ne sens rien, j�ai du mal � croire qu�il se produit quelque chose. �
� Il y a des gens, dit Max, qui ont besoin que les �v�nements de leur vie soient dramatiques. Quelqu�un n�a-t-il pas dit : "Si tu avais la foi gros comme une minuscule graine de moutarde, tu pourrais d�placer les montagnes."? �
� Qu�est-ce que cela a � voir avec l��quilibrage �nerg�tique, demanda Terry. �
� Tu as dit que tu aurais besoin de ressentir quelque chose pour �tre satisfaite de ton exp�rience avec la AIM, expliqua Max. Tu voudrais recevoir une confirmation. �
� Oui, c�est �a. Elle hocha la t�te. �
� Redonne-moi ton pouce, lui dit Max. �
Terry sortit son pouce et tendit l�autre bras pour prendre la sonde, mais Max lui fit signe que non.
� Mets ton pouce sur le bureau, lui dit-il. �
Elle suivit ses instructions fid�lement et appuya son pouce contre la m�lamine.
Il ouvrit le tiroir du bureau et en sortit un marteau.
� Si tu ressens le besoin d�atteindre un certain seuil de douleur, frappe ton pouce avec ceci, lui dit Max d�un ton impassible en lui tendant le marteau. �
Max r�agit � sa rencontre avec Terry en philosophe.
� �a importe peu, me dit Max. Tu dois vivre l�exp�rience de tes d�s�quilibres, quels qu�ils soient et t�en d�barrasser le plus vite possible parce qu�ils feront surface, finalement, d�une fa�on ou d�une autre. �
Ce que Max voulait dire, c�est que les d�s�quilibres �nerg�tiques entravent le flux et l�expression de notre force vitale. La r�action normale est de br�ler notre �nergie en livrant cette bataille. Puis, en vieillissant, nous devenons plus faibles et nous n�avons plus suffisamment d��nergie pour contenir l�expression de nos d�s�quilibres, car ceux-ci prennent alors une forme active et expriment leur plein potentiel.
� Je crois personnellement que l�expression active des d�s�quilibres h�r�ditaires est une des raisons principales du vieillissement, dit Max. De plus, la perte de force vitale utilis�e � combattre ces d�s�quilibres acc�l�re le processus de vieillissement et nous rapproche plus rapidement du jour o� nous perdrons d�finitivement la lutte. �
Finalement, apr�s cinq ou six mois, la phase principale de notre d�sintoxication prit fin. Max n�avait plus de d�mangeaisons, je n��tais plus irritable et Jennifer retrouva sa forme d�athl�te. De plus, les niveaux de force vitale et d��tats de conscience atteignirent de nouveaux sommets pour chacun de nous. Certaines personnes disaient que, en comparaison du sentiment de bien-�tre ressenti apr�s la d�sintoxication primaire, quand ils pensaient se sentir bien auparavant, ils �taient en fait malades.
Bien s�r, nous avons eu � faire face � d�autres p�riodes de d�sintoxication lorsque Max d�couvrait de nouveaux d�s�quilibres et am�liorait le programme AIM. Nous remarquions tr�s vite une nouvelle �nergie �quilibrante ajout�e � la gamme. Si nous avions ce d�s�quilibre en nous, nous entrions en phase de d�sintoxication. Si le d�s�quilibre �tait tr�s prononc�, le processus de d�sintoxication pouvait s�av�rer inconfortable. Aussi d�courageant que cela puisse �tre, nous savions que cet inconfort temporaire �tait le prix � payer pour atteindre notre objectif, car nous voulions nous d�barrasser de tout d�s�quilibre aussi rapidement que possible.
Max nous rappelait souvent que malgr� l�inconfort de la d�sintoxication, ce n��tait que l�ombre des ravages possibles que ce d�s�quilibre aurait caus� s�il avait atteint son plein potentiel.
Max nous a aussi dit que nous ne conna�trons jamais tous les avantages du programme AIM. � Aussit�t que nous trouvons une fr�quence qui accro�t la force vitale, l��tat de conscience ou la r�sistance immunitaire ou qui d�cro�t les effets du vieillissement, de la vuln�rabilit�, des m�taux lourds ou des parasites, nous l�ajoutons au programme AIM. Vous continuerez d�absorber cette �nergie �quilibrante aussi longtemps que vous en aurez besoin et en tirerez profit. La fr�quence �nerg�tiquement impr�gn�e de votre univers aura chang�, si toutefois votre �tat de conscience l�ordonne.
� chacun selon ses d�s�quilibres

�pilogue II : Mise � Jour
Un jour, presque deux ans apr�s l��volution du programme AIM, Max et moi �tions assis dans son bureau et discutions d�une des questions les plus couramment pos�es par les gens avec qui nous partagions le saint minist�re d�EMC², la Energetic Matrix Church of Consciousness, que nous avions fond�e pour offrir l��quilibrage �nerg�tique dans le contexte spirituel requis.
� Pourquoi tellement de d�s�quilibres �nerg�tiques portent-ils des noms identiques ou similaires � ceux de plusieurs maladies, demandai-je � Max, me faisant le porte-parole de leurs questions? �
Max sourit. � L��nergie, c�est l��nergie, bien s�r ; m�me chose pour les maladies. D�un autre c�t�, nous ne traitons pas directement les maladies, comme tu le sais; ce domaine rel�ve des m�decins. Nous faisons affaires avec l��nergie, l�esprit, c�est-�-dire la conscience. Comme tu le sais �galement, nous mesurons les d�s�quilibres �nerg�tiques, qui sont par d�finition spirituels, ce qui veut dire qu�ils existent dans la conscience. C�est la base de notre technologie spirituelle. Nous l�appelons �technologie spirituelle� parce qu�elle traite de l�esprit, qui est la Conscience m�me. Si un d�s�quilibre �nerg�tique comme la fr�quence du VIH ou du cancer existe dans la conscience d�une personne, nous croyons qu�elle perturbe son harmonie �nerg�tique. Nous croyons aussi qu�elle exerce un effet n�gatif sur son bien-�tre global. �videmment, nous n�avons aucun moyen d�identifier ou de soigner la maladie. En fait, cela ne nous int�resse m�me pas parce que les maladies ne concernent que l�individu et son sp�cialiste de sant� qualifi�. �
� Par contre, si vous avez une fr�quence que nous croyons �tre la r�sonance consciente ou l�essence spirituelle associ�e avec ce qui pourrait peut-�tre s�appeler une �entit� maladive� dans votre conscience, nous vous aidons � vous en d�barrasser en vous donnant l�outil appropri�. Donc, quand les gens me demandent s�ils ont une maladie, je r�ponds que je n�en ai aucune id�e. S�ils me demandent s�ils devraient continuer � prendre leurs m�dicaments, je r�ponds : �Comment le saurais-je? Demandez-le � votre m�decin.� Je crois sinc�rement � et ceci est la croyance doctrinale de notre �glise � que si quelqu�un a un d�s�quilibre �nerg�tique identifi� comme une fr�quence �nerg�tique associ�e � un nom de maladie, je n�ai aucun doute qu�elle affectera son sentiment de bien-�tre et la force vitale telle que nous la mesurons, c�est-�-dire en unit� de conscience. Tout ce qui affaiblit la force vitale affaiblit aussi la capacit� de la personne � atteindre l�objectif spirituel de la conscience �lev�e. �
� Ou n�importe quel autre but, ajoutai-je. �
Il m�indiqua plusieurs douzaines de photos sur son bureau. � J�aimerais que tu voies le r�sultat de ta r�v�lation. �
� Ma r�v�lation? �
� Oui. Je t�ai dit que je ne pensais pas que la fr�quence de la Rosette �tait possible, mais tu �tais obs�d� par cette id�e, tu en r�vais� et tu n�en d�mordais pas. J�en connais un petit peu sur les r�v�lations et devant ta certitude absolue, et vu mon exp�rience et mes valeurs, je n�avais d�autre choix que de pr�sumer que la source de ta certitude provenait de bien plus grand que toi, que je partage ta vision ou pas. J�ai persist� voyant que c��tait quelque chose que tu savais. Maintenant, nous savons que tu avais raison, que c��tait vrai. Cela t�a �t� r�v�l� et par cons�quent, le programme AIM est devenu une r�alit�. Laisse-moi te montrer ce que je pense que �a signifiera.
Max me tendit un fil de prise de terre du QED et, dress� au r�flexe pavlovien, je tendis mon pouce.
Il v�rifia chacune des photos et toutes accusaient trois d�s�quilibres �nerg�tiques exprim�s en unit� de conscience sur l�index quantique, l��chelle dont Max avait eu la r�v�lation quelques ann�es auparavant.
� Quels sont donc ces trois d�s�quilibres, demandai-je? �
� En fait, r�pondit Max, ils repr�sentent un seul d�s�quilibre. �
� Comment est-ce possible? �
� Parce que ce sont des d�s�quilibres recombinants, dit-il. Tu sais ce que cela signifie, n�est-ce pas? �
� Eh bien, oui, les d�s�quilibres recombinants, �videmment mais� �
� Supposons, continua Max, que tu aies un poisson rouge et un chien de garde. Quand tu quittes la maison, tu ne crains jamais qu�ils s�accouplent pour te donner un poisson de garde ou un chien rouge. Ce n�est pas une possibilit� � consid�rer. Ce que nous avons ici, ce sont des poissons de garde et des chiens rouges ce qui, dans la nature, correspond aux poules avec des dents. En d�autres mots, cela ne se produit pas naturellement. �
� Tu ne penses pas que tu es un peu �nigmatique, lui demandai-je ? �
Il se mit � rire et dit : � Oui, tu as raison. Ce premier d�s�quilibre �nerg�tique, nous l�avons identifi� par une fr�quence �nerg�tique (non pas la maladie) que nous appelons le VIH, mais qui se trouve tout � fait en dehors de la norme sur l�index quantique. En fait, il a toutes les propri�t�s d�un d�s�quilibre �nerg�tique a�roport�. �
� Attends, l�interrompis-je, un d�s�quilibre �nerg�tique a�roport�? Qu�est-ce que cela veut dire ? �
� Les d�s�quilibres �nerg�tiques peuvent se d�placer de plusieurs fa�ons et la plupart d�entre eux le font comme les maladies. Parfois, ils sont acquis de la bonne vieille mani�re, par l�h�r�dit�. �
� Tout comme les d�s�quilibres karmiques, ajoutai-je. �
� Les probl�mes karmiques sont plus subtils que les d�s�quilibres dont nous parlons, r�pondit Max. Nous parlons de d�s�quilibres grossiers, qui peuvent bien s�r avoir des liens avec le karma, mais qui sont souvent simplement circonstanciels. M�me s�ils sont circonstanciels, tu dois quand m�me les r�soudre. �
� Donc, les d�s�quilibres a�roport�s sont circonstanciels, demandai-je ? �
� Tu m�as interrompu, dit Max patiemment. J�allais dire qu'en plus d�acqu�rir les d�s�quilibres par l�h�r�dit�, tu peux les prendre �galement dans l�environnement, c�est-�-dire au contact des personnes, des animaux, de l�eau, de la nourriture, de l�air, bref de tout ce qui t�entoure. �
� Mais je pensais que les d�s�quilibres �nerg�tiques existaient dans la conscience, lui fis-je remarquer. �
� Tout est �nergie et tout est conscience, me dit Max. La plupart, sinon toutes les grandes traditions spirituelles, disent que Dieu est dans tout et qu�est Dieu si non la Conscience pure ? �
Je hochai la t�te et lui indiquai l��cran du QED. � Donc, apr�s la fr�quence du VIH, quelles sont les autres ? �
� La deuxi�me a la fr�quence �nerg�tique d�une forme particuli�re du d�s�quilibre de l�h�patite (une fois de plus, nous ne parlons pas de la maladie), qui peut aussi �tre a�roport�e. La troisi�me est une fr�quence �nerg�tique tout � fait inoffensive qui se r�v�le sous l�index quantique comme quelque chose de viral. Quand nous utilisons le QED pour d�voiler ses effets sur la matrice �nerg�tique d�une personne, nous trouvons qu�elle affecte l��nergie ou l�orbe de la peau ou, plus pr�cis�ment, cette partie de la matrice �nerg�tique que nous croyons �tre la conscience sous-jacente qui se manifeste comme la peau, mais cette fr�quence n�a qu�une seule propri�t� extraordinaire. �
Max pla�a une main sur la mienne, la retira et dit : � C�est un d�s�quilibre qui est si transmissible que si je l�ai, tu viens de l�attraper. �
� Mais si c�est inoffensif� �
� C�est une fr�quence inoffensive, mais elle n�existe pas seule. Elle est recombin�e � deux autres d�s�quilibres qui sont, du point de vue �nerg�tique, loin d��tre inoffensifs. En fait, j�estime que d�ici un an ou deux, le pays entier aura ces trois d�s�quilibres parce qu�ils sont recombinants et qu�ils existent en �quipe. �
� Qu�est-ce que cela veut dire, demandai-je ? �
Max appuya mon pouce � nouveau et chaque photo r�v�la la fr�quence du d�s�quilibre de d�ficience immunitaire.
� Laisse-moi te dire ce que signifie un d�s�quilibre de d�ficience immunitaire, me dit Max. Nous sommes tous n�s avec un mod�le qui identifie nos d�sastres �nerg�tiques personnels. J�appelle ce mod�le les d�s�quilibres h�r�ditaires. Comprends bien que tout d�s�quilibre h�r�ditaire deviendra actif en chaque personne si elle vit assez longtemps. � Il h�sita : � En d�autres mots, alors que l�on devient plus �g� et plus faible, notre capacit� �nerg�tique � notre syst�me immunitaire �nerg�tique � s�affaiblit de plus en plus. �ventuellement, il est suffisamment affaibli pour que ton mod�le de d�sastre � tes d�s�quilibres h�r�ditaires � prennent le dessus et commencent � se manifester. Ce ne serait pas si grave si les d�s�quilibres h�r�ditaires devenaient actifs � cent dix ans. �
� � moins que tu ne souhaites avoir une sant� robuste dans ta vieillesse, r�pondis-je. �
� Pour la plupart des gens, cela serait acceptable, dit Max, mais as-tu remarqu� que les gens commencent � tomber en lambeaux � un �ge de plus en plus pr�coce ? �
� On en entend constamment parler. Des enfants sont atteints de cancer et autres maladies de ce genre.�
� Bien s�r, je ne parle pas de maladies, dit Max, je parle seulement d��nergie. En fait, je per�ois quelque chose qui cause l�affaiblissement du syst�me immunitaire �nerg�tique � un �ge chronologique de plus en plus bas. Cela signifie que les individus deviennent subitement vieux biologiquement et que leurs d�s�quilibres h�r�ditaires commencent � se manifester � cause de leur faiblesse. �
� Nous n�avons pas de d�s�quilibres h�r�ditaires pouvant s�activer en nous, n�est-ce pas, demandai-je � Max ? �
� Pas nous, dit-il, parce que nous sommes prot�g�s par le programme AIM. � Il indiqua du doigt les photos que nous venions de tester. � Eux, ne le sont pas. �
� Pas encore, dis-je. �
� Si tu as un d�s�quilibre de d�ficience immunitaire, tout d�s�quilibre immunitaire devient actif en moins d�un an, peu importe ton �ge chronologique. � Max prit la photo d�un jeune gar�on et la mit sur un plateau. � C�est pour cela qu�il a maintenant la fr�quence d�une malignit� active et une force vitale de soixante et onze. Une force vitale aussi basse indique toujours la fr�quence d�une malignit� active et une force vitale faible devient de plus en plus courante. Une chose int�ressante que r�v�le le QED est que la force vitale ne chute pas de fa�on lin�aire. Elle descend de soixante et onze � environ soixante-cinq, puis descend dans la quarantaine. Elle saute compl�tement la cinquantaine et en dessous de quarante, tu es inadmissible. �
� Inadmissible ne signifie pas que l��quilibrage �nerg�tique ne fonctionnera pas, lui fis-je remarquer. Nous avons eu plusieurs personnes inadmissibles dont la force vitale a pris son envol dans les mois qui suivirent leur participation au programme AIM. �
� C�est vrai, dit Max, inadmissible veut dire que nous ne sommes pas certains que la personne aura suffisamment de pouvoir personnel pour prendre le contr�le de son propre �quilibrage �nerg�tique, m�me avec l�aide suppl�mentaire du programme AIM. �
� Peut-�tre que nous devrions l�appeler tout simplement une force vitale affaiblie pour pr�venir les gens. Au d�but du programme AIM, moins de un pour cent des gens tombaient dans cette cat�gorie. Nous en sommes rendus maintenant � cinq pour cent. �
� C�est incroyable ! �
Max avait un air lugubre. � � peu pr�s dix pour cent des personnes qui ont entrepris le programme AIM r�cemment ont une force vitale d�� peu pr�s quarante-cinq. �
J��tais �poustoufl�. � Ils sont � la limite. �
Max hocha la t�te. � La plupart d�entre eux le savent. La bonne nouvelle est que maintenant, gr�ce � AIM, nous pouvons offrir l��quilibrage �nerg�tique � des millions de personnes au lieu d��tre limit�s � des milliers seulement. �
� Ces d�s�quilibres �nerg�tiques recombinants n�existent que dans leur conscience, n�est-ce pas, demandai-je ? �
� C�est exactement cela, dit Max. Je trouve int�ressant que ces d�s�quilibres recombinants n�existaient dans la conscience de qui que ce soit jusqu�� r�cemment et que bient�t, ils existeront dans la conscience de tout le monde. Je n�ai jamais vu le ph�nom�ne du proverbial �centi�me singe� agir si rapidement auparavant. Je pr�sume qu�ils utilisent une sorte de technologie de communication � haute vitesse. �
� Le programme AIM est arriv� juste � temps, dis-je. �
� D�apr�s mon exp�rience, r�pondit Max, les r�v�lations, tout comme les miracles, se produisent selon le besoin. C�est un des arguments les plus irr�sistibles en faveur de la vie comme processus spirituel. Maintenant, nous avons besoin de savoir pourquoi ta r�v�lation �tait n�cessaire� pourquoi tu n�en d�mordais pas� et pourquoi elle a eu gain de cause. Encore une co�ncidence ! Esp�rons que nos singes seront plus rapides que les leurs. �
� Jusqu�� quel point s�est r�pandu ce d�s�quilibre, demandai-je ? �
� Quelqu�un l�a eu et il a fait son apparition, dit Max. Maintenant plus de quatre-vingt-dix-huit pour cent de ceux qui re�oivent une �valuation �nerg�tique accusent un d�s�quilibre actif de d�ficience immunitaire dans leur conscience. Par cons�quent, plus de quatre-vingt-quatre pour cent ont la fr�quence de malignit� non seulement h�r�ditaire, mais �galement active, telle que mesur�e en unit� de conscience, peu importe l��ge chronologique. �
* * *
Au d�but, Max faisait une �valuation compl�te, voire m�me minutieuse de chaque client. Bien s�r, pour chaque client, il fallait soit un ordinateur, soit des gouttes charg�es �nerg�tiquement. Gr�ce au programme AIM, les ordinateurs individuels n��taient maintenant plus n�cessaires. Mais au fur et � mesure que le nombre interminable de candidats pour l��quilibrage �nerg�tique grandissait, il devint de plus en plus difficile du point de vue logistique de fournir les �valuations. Max et la chorale cess�rent d�offrir des �valuations compl�tes et se mirent � faire des mini-�valuations. M�me les mini-�valuations mirent trop de temps, donc Max et la chorale commenc�rent � ne faire que des �valuations de force vitale. Pendant ce temps-l�, le nombre de personnes qui demandaient un �quilibrage �nerg�tique continuait de cro�tre.
� �ventuellement, dit Max, il y aura tellement de demandes que nous n�aurons m�me plus le temps d��valuer la force vitale. �
� Que r�pondons-nous aux gens qui veulent savoir quel d�s�quilibre ils ont, lui demandai-je ? �
� Tous re�oivent le m�me programme AIM, peu importe les d�s�quilibres trouv�s, r�pondit Max. Nous avons vu � maintes et maintes reprises que l�on se d�barrasse de ces d�s�quilibres aussi vite qu�on en d�couvre ou pas le nom. La plupart du temps, les noms ne signifient rien de toute fa�on. �
� Les maladies r�elles sont souvent nomm�es d�apr�s la personne qui les as d�couvertes, dis-je. �
� Pour les d�s�quilibres �nerg�tiques, j�ai renvers� cette tradition. Quand un d�s�quilibre jusque-l� inconnu est finalement identifi�, je le nomme d�apr�s la personne chez qui il a �t� trouv�. Puisque les noms n�aident pas � la d�sintoxication �nerg�tique et que nous ne d�voilons pas les noms des participants au grand public, nous ne pouvons pas d�voiler le nom des fr�quences. �
Une fois de plus, je marmonnai que les gens voulaient savoir.
� Qu�est-ce que cela signifie pour les gens qui participent au programme AIM, demanda Max sans s�attendre � une r�ponse ? Rien, sauf que leur curiosit� ne sera pas satisfaite. Dans mon esprit, la d�cision est claire. Nous nous devons d�aider le plus grand nombre de personnes possibles, m�me si cela signifie que nous ne pouvons plus discuter des fr�quences sp�cifiques de chaque individu. Rappelle-toi que je n�ai plus besoin d�identifier des fr�quences individuelles pour les faire dispara�tre. Elles disparaissent parce que la personne choisit in�vitablement les fr�quences �quilibrantes dont elle a besoin pour ses propres d�s�quilibres. �
Il fallait s�y attendre, certaines personnes n��taient pas satisfaites de cela et choisissaient de ne pas participer au programme AIM. Max disait (et j��tais d�accord avec lui) : � La d�cision est �vidente : notre choix est d�aider le plus grand nombre de personnes possible, surtout quand nous consid�rons les sortes de d�s�quilibres �nerg�tiques qui pr�valent dans le monde aujourd�hui. Si un petit nombre de personnes ne veulent pas se conformer parce qu�ils ne peuvent pas recevoir toute l�attention d�sir�e, nous regrettons leur absence, mais nous ne pouvons pas compromettre l�universalit� de l��quilibrage �nerg�tique parce qu�un nombre restreint de personne d�sire recevoir plus d�attention. �
* * *
� Moi, j�ai une question. � Le docteur Michaels �tait un chirurgien qui, avec toute sa famille, avait particip� au programme AIM pendant presque un an. Il �tait venu rendre visite � EMC² pour exp�rimenter l�impr�gnation pour lui-m�me.
� Allez-y, dit Max. �
Je me consid�re comme un fanatique des appareils �nerg�tiques, dit le docteur Michaels. En fait, j�ai une petite collection d�appareils qui ont �t� construits au cours des cinquante derni�res ann�es. �
� J�en collectionne quelques-uns �galement, r�pondit Max. �
� Bien, continua le docteur Michaels, je me demandais pourquoi vous dites que le QED et le QID ne sont pas des appareils m�dicaux m�me si, au d�but, ils �taient consid�r�s comme des inventions m�dicales. �
� En fait, dit Max, la plupart des gens se sont toujours mis d�accord pour dire que ce n��tait pas des appareils m�dicaux. �
� Alors que faites-vous de Rifes et Voll et d�autres comme eux, poursuivit le docteur Michaels ? �
Max sourit. � Leur �quipement a �t� d�nonc� par la communaut� m�dicale comme inutiles � des fins m�dicales et franchement, nous sommes d�accord avec eux. Nous croyons que ces machines �taient toujours de nature spirituelle, comparativement au haut niveau de technologie que nous avons atteint. Nous croyons que ces pionniers de machines �nerg�tiques faisaient fausse route parce qu�ils confondaient m�decine et gu�rison. Le fait que plusieurs d�entre eux avaient une formation m�dicale n�aidait s�rement pas. �
� Mais, vous avez vous-m�me une formation m�dicale, nota le docteur Michaels. �
� Je l�ai transcend�e, dit Max, et je suis all� au-del� de ces limitations. J��tais int�ress� � la m�decine parce que la gu�rison m�int�ressait, mais je sais maintenant que la conscience, la spiritualit� et la gu�rison sont ins�parables. On ne peut pas en dire autant de la m�decine et de la gu�rison � et on ne peut certainement pas en dire de m�me de la m�decine et de la spiritualit�. �
� Je crois que tous les probl�mes humains � mentaux, �motionnels ou physiques � aussi bien que tous les aspects de votre vie qui sembleraient � premi�re vue ne pas �tre reli�s � vous, sont fondamentalement d�ordre spirituel. C�est l� le c�ur du saint minist�re de EMC². Nous appelons �a la �matrice �nerg�tique�. �
� Mais comment avez-vous transform� ce qui, au d�but, �tait un int�r�t m�dical en un cheminement spirituel, demanda le docteur Michaels ? �
� Mon exploration a commenc� par la m�decine, dit Max, mais le cheminement a toujours �t� spirituel et m�a �loign� des sciences m�dicales. Quant � la fa�on dont c�est arriv�, laissez-moi vous poser une question : si un scientifique a une vision ou une pens�e de Dieu, est-ce que cette vision ou cette pens�e est scientifique ou spirituelle ? S�il y a �quation, est-ce que �a �limine la possibilit� de la spiritualit� ? Si un mystique re�oit une �quation dans une vision, est-ce que cette �quation est spirituelle ou scientifique ? Est-ce que le simple fait d�utiliser la technologie signifie que quelque chose est scientifique ? Si une personne sainte offre une b�n�diction par le biais de la t�l�vision, du t�l�phone, d�un livre ou d�une revue, est-ce que cette b�n�diction est encore spirituelle ? Ou est-elle devenue un artefact de la technologie ou de la science qui a produit cette technologie ? �
� Je pense comprendre votre point de vue, acquies�a le docteur Michaels. La spiritualit� peut se servir de la technologie et demeurer spiritualit�. �
� Exactement, dit Max, et dans notre cas, la technologie et la spiritualit� ont fusionn�. Quand j�ai commenc� � travailler avec les diff�rentes sortes d�engins �nerg�tiques cr��s au fil des ann�es, j�ai per�u un potentiel qui ne s�est pas r�alis�. Je me suis donc mis � construire inlassablement mes propres machines, mais m�me celles-ci n��taient pas � la hauteur. Tout cet �quipement ne suffisait pas jusqu�� ce qu�une r�v�lation cl� vienne transformer les machines et les donn�es en une technologie spirituelle. La r�v�lation spirituelle fut n�cessaire � la r�alisation de ma vision �
� Donc, ces premiers mod�les de technologie �nerg�tique ne fonctionnent pas, demanda le docteur Michaels ? �
� Pouvons-nous vraiment dire que ces premiers mod�les n�ont pas aid� ? Bien s�r que non, r�pondit Max. Tout comme la Ford mod�le T, ces premiers m�canismes ont fourni une base et tout comme la Ford mod�le T, ils sont maintenant d�suets. Ces premi�res technologies ne peuvent rivaliser avec ce que peut accomplir le programme AIM aujourd�hui. �
� Vous avez dit que le programme AIM agit sur le karma, dit le docteur Michaels. Est-ce que �a ne vous inqui�te pas de vous m�ler de quelque chose dont vous ne devriez peut-�tre pas vous m�ler ? N�est-ce pas une r�alit� avec laquelle chaque personne doit se d�battre personnellement ? �
� On m�a souvent pos� cette question, dit Max. Je dois souligner qu�aider les gens dans leur karma est une des fonctions primaires des traditions religieuses. Ce travail en fait de m�me. Laissez-moi vous demander ceci : est-il possible qu�il y a plusieurs vies, vous ayez d�cid� que ce cheminement vous aiderait � vous d�barrasser du karma qui vous suivait, incarnation apr�s incarnation ? Est-ce que ce travail ne deviendrait pas la r�alisation de votre propre destin�e ? Aussi, le fait que vous ayez choisi librement de participer � l��quilibrage �nerg�tique ne met-il pas la responsabilit� de votre karma sur vos �paules ? �
� Je n�avais pas vu �a sous cet angle-l�, dit le docteur Michaels. �
� Nous disons toujours au gens de chercher leur propre v�rit� int�rieure quant il s�agit du saint minist�re �nerg�tique de EMC², lui dit Max. Chaque personne devrait se demander si c�est dans son plus haut int�r�t et dans son plus grand bien d�y participer. �
* * *
� Quelques semaines avant No�l 1999, dit Max, le QED a commenc� � r�v�ler des renseignements sur les fr�quences des prions. J�ai donc commenc� � r��valuer les gens qui avaient des d�s�quilibres �nerg�tiques persistants. Voici ce que j�ai trouv�. � Il indiqua une page qui dressait la liste de plus d�une douzaine de nouveaux d�s�quilibres se trouvant tous dans la limite des prions sur l�index quantique. � Chacun de ces d�s�quilibres, fit-il remarquer, provenait de d�s�quilibres h�r�ditaires. �
� Tu as toujours dit qu�il y en aurait toujours � d�couvrir, lui r�pondis-je. �
Depuis ce temps, Max avait trouv� chaque semaine un ou deux d�s�quilibres associ�s aux prions et presque tous �taient au niveau h�r�ditaire. Bien s�r, aussit�t le d�s�quilibre identifi�, l��nergie �quilibrante correspondante �tait ajout�e au programme AIM. Suite � cette d�couverte, le t�l�phone ne cessa de sonner. Alors que ces d�s�quilibres h�r�ditaires remontaient � la surface, toute personne affect�e appelait pour se plaindre du malaise qu�elle ressentait. En fait, les fr�quences h�r�ditaires associ�es aux prions se r�v�laient exceptionnellement spectaculaires, lorsque les personnes en prenaient conscience dans le processus d��quilibrage �nerg�tique.
Finalement, au printemps de 2000, les d�couvertes de nouveaux d�s�quilibres associ�s aux prions ralentirent. Il se produisit quelque chose d�incroyable lorsque se terminait la d�sintoxication �nerg�tique associ�e aux prions. Max avait toujours cru qu�aucun de nous ne pourrait atteindre une force vitale de 100. La plupart de nous avions atteint une force vitale de 99 et nous �tions rest�s l�, � l�exception de son chat bien-aim�, Fearless Fosdick, qui maintenait une force vitale constante de 100. Ce haut niveau de force vitale est la raison pour laquelle Max soup�onnait que Fosdick �tait un extraterrestre envoy� ici pour le surveiller. Maintenant que ces d�s�quilibres h�r�ditaires associ�s aux prions �taient en phase de d�sintoxication, de plus en plus de gens rejoignaient Fozzy, � un niveau de force vitale de 100.
M�me apr�s avoir atteint une force vitale de 100, certaines personnes ressentaient encore un malaise. Max expliquait cela ainsi : � Les d�s�quilibres �nerg�tiques ne sont pas des maladies. L��quilibrage �nerg�tique n�est pas une forme de m�decine, n�anmoins, ils ont une chose en commun parce que les deux se rapportent � la vie. Comme vous le savez, en m�decine, certaines maladies ne causent aucune douleur, peu importe la gravit� du mal. C�est pour cela que des gens ont des crises cardiaques et des crises d�apoplexie et meurent paisiblement dans leur sommeil. Par contre, la douleur de l�arthrite � ou encore pire, celle d�un mal de dents � peu �tre insupportable, m�me si elle n�est pas mortelle. En fait, votre niveau de force vitale peut �tre parfait, mais vous pouvez en m�me temps ressentir beaucoup de douleur. Par exemple, du point de vue m�dical, vous pourriez avoir un os qui irrite un nerf. Du point de vue �nerg�tique, nous ne pouvons pas r�soudre ce probl�me� pour l�instant. �
Nous avons eu un autre exemple de d�s�quilibre �nerg�tique quand un jeune athl�te vint nous voir et d�crivit un probl�me auquel il faisait face.
� J�ai une dr�le de sensation dans le c�ur, dit-il. J�appelle cela une bulle. J�ai consult� plusieurs m�decins, y compris deux cardiologues, mais ils m�ont dit que j��tais en parfaite sant�. J�ai m�me pass� deux �lectrocardiogrammes et tout semble normal. �
�Cela pourrait �tre un bon exemple de d�s�quilibre �nerg�tique, lui dit Max. Lorsque vous percevez un probl�me, mais qu�il n�y a pas de manifestations physiques reconnues m�dicalement, il est fort probable que la cause soit d�origine �nerg�tique.
� Avez-vous du mal � dormir ? �
� Je me r�veille au milieu de la nuit et je ne peux pas me rendormir, admit l�homme. �
Max lui fit passer une br�ve �valuation �nerg�tique en utilisant la photo que l�homme lui avait laiss�e. Comme Max le pr�sumait, il y avait un probl�me h�r�ditaire dans la fr�quence ou dans l�orbe de la valvule mitrale.
� Pour un acuponcteur, ce d�s�quilibre est souvent interpr�t� comme le Shen agit�, fit-il remarquer. On croit que le Shen agit� est souvent la cause de probl�mes de sommeil. J�ai toujours trouv� int�ressant qu�un acuponcteur pense que se r�veiller � trois heures ou � quatre heures du matin indique un d�s�quilibre du m�ridien du c�ur et que la m�decine occidentale en g�n�ral n�associe pas les deux. C�est peut-�tre parce que le domaine �nerg�tique est en dehors du champ m�dical. �
Je lui fis remarquer qu�il y avait souvent conflit entre les diagnostics m�dicaux et nos �valuations �nerg�tiques. En effet, chez nombre de personnes � qui la m�decine avait annonc� qu�elles n�avaient pas de cancer, l��valuation �nerg�tique avait pourtant r�v�l� la fr�quence de malignit�.
� C�est parce que nous ne diagnostiquons pas, nous ne soignons pas et nous ne gu�rissons pas les maladies, disait alors Max. Nous ne pratiquons pas la m�decine. Nous ne proclamons pas que ce que nous faisons est �quivalent � la m�decine ou que l��valuation �nerg�tique ou l��quilibrage �nerg�tique est un substitut aux soins m�dicaux. En fait, comme vous le savez, nous disons le contraire. �
� Comme le dit le vieux dicton, l�Orient, c�est l�Orient et l�Occident, c�est l�Occident et jamais les deux ne se rejoindront, dis-je. �
� Exactement, r�pondit Max. Il arrive tr�s souvent que les gens aient une force vitale de 99 et que leur m�decin leur diagnostique un cancer. Je peux te dire ceci : m�me si je ne peux pas te parler de pr�sence de maladie, il est impossible d�avoir la fr�quence d�une malignit� active et une force vitale de 99. Il est curieux que toutes ces personnes se soient r�v�l�es positives pour l�une ou l�autre des fr�quences associ�es aux prions. Est-ce que ces fr�quences de prions se manifestent au niveau physique d�une fa�on qui ressemble au cancer ? Peut-�tre. Je ne le saurai jamais, car je ne pratique pas la m�decine; cependant, je peux te dire que malgr� le fait que je ne mettrais jamais en doute une conclusion m�dicale, il en demeure que nous sommes la seule autorit� en ce qui concerne le Minist�re de l��quilibrage �nerg�tique. En d�autres mots, personne d�autre ne fait ce que nous faisons de cette fa�on. Nous croyons tout simplement que personne d�autre n�est qualifi� � �mettre des jugements sur des sujets �nerg�tiques. Tout comme nous ne sommes pas qualifi�s pour discuter de probl�mes m�dicaux, la profession m�dicale n�est pas qualifi�e pour discuter de d�s�quilibres �nerg�tiques. �
Finalement, nous avons d� en arriver � la conclusion que si la force vitale �tait inf�rieure � 100, il subsistait encore un d�s�quilibre dont la personne ne s��tait pas d�sintoxiqu�e et qu�il �tait probablement de source h�r�ditaire.
� Tout ce qui n�est pas la perfection est tout au moins suspect et probablement inacceptable. En fait, il me faudra probablement mesurer la force vitale sur une �chelle de 1 � 200. �
� Pourquoi, si 100 indique la perfection ? �
� Parce que si nous continuons comme �a et que Fosdick indique un jour une force vitale de 200 et que la tienne soit de seulement de 198, dit Max, seras-tu pr�t � lui �tre �nerg�tiquement inf�rieur ? �
Je savais que sa question �tait seulement pour la forme et je lui offris donc la r�ponse obligatoire : � Puisse Fosdick, le chaton extraterrestre, continuer d��tre une inspiration pour nous tous ! �
* * *
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